(13/03/2009)
samedi, avril 11, 2009
Avis de suicides collectifs
(13/03/2009)
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mercredi, mars 04, 2009
La défaite de la Raison
Si-tôt après la défaite de son équipe en coupe de France Dominique Cerdan, président du FC Santa-Cerza, a exprimé une satisfaction tout à fait honteuse. Certes le club détenteur du trophée 2008 est dans une situation compliquée en championnat et son match perdu de ce soir est bien meilleur que tous ceux de cette saison et peut laisser espérer des jours heureux mais comment peut-on se satisfaire d'une défaite ? Les explications du président, parfaitement compréhensibles, n'y changent rien. Si on fait abstraction de son argumentation ses déclarations sont tout simplement scandaleuses.
L'ambitieux
(02/03/2009)
Non mais ce que dit le sélectionneur, Paul Benezech, est sensé quand même.
Bien sûr. Mais en disant ça il sait parfaitement que les journalistes vont lui tomber dessus. D'accord c'est pas bien futé, mais il le sait, il faut qu'il ait une stratégie de communication.
Vous êtes journaliste et vous dites bien avoir compris Benezech...
Mais justement ! Je m'insurge ! La question n'est pas de savoir si on dit quelque chose d'intelligent mais de comprendre que dans sa position il est obligé de dire ce qu'on attend de lui. Je me foue de comprendre ce qu'il dit.
Vous mettez de côté votre propre intelligence ?
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jeudi, décembre 11, 2008
Prime au consommateur
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L'Olympe et la révolution
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Libellés : Culture, Democratie, Personnel
mardi, avril 01, 2008
Revue de presse 30/03
L'idéal
Encore une fois la DLR a démontré son attachement à la droite en soutenant le programme du gouvernement sur la politique de l'emploi.
Marin Bernadotte a en effet déclaré que le plein emploi proposé était en effet la solution à de nombreux problèmes tout en précisant que le taux de chômage n'était plus une mesure pertinente depuis bien longtemps. Pour autant il n'a pas signé de chèque en blanc puisqu'il a précisé: "Ainsi il sera aisé de mesurer si tous les français ont un emploi, en cours de cursus scolaire ou de retraite [...] Le plein emploi se calcul sans compter les mises en formation forcées, les pré-retraites ou les contrats de travail ne couvrant pas la totalité de l'étude des chiffres.".
[...]
Dans quelques mois nous constaterons si oui ou non le plein emploi est atteint. Et comme tout semble pouvoir être sacrifié en son nom mais en son nom seul je crains le pire pour ceux qui auront fait ces promesses dont nous savons, à gauche, qu'ils ne voudront pas tenir.
Gianluiggi
(31/03/2008)
Amandine de Sienne, à propos de la grève des lycéens: "La droite a raison de dire que les lycéens ne parlent pas uniquement en leur nom car derière chaque lycéen en grève il y a des parents qui se demandent comment préparer l'avenir de leurs enfants. Et ces parents ont tellement bien compris qu'il y avait une urgence à changer de politique dans l'éducation qu'ils ont lancé un signal très clair dans tout le pays lors des dernières élections municipales."
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dimanche, mars 23, 2008
Communication et spin-doctors
Journal de la Cité
Entre être accusé de ne pas avoir de réponse concrète sous prétexte de vouloir convoquer des Etats Généraux, et l'usage de la démocratie, et participer à la proposition de décisions rétrogrades, dangereuses, simplistes et gratuites, notre choix est fait depuis la création de notre parti politique. "Démocratie Libérale Révolutionnaire": nous affichons la couleur pourtant...
Nous continuerons donc de travailler le cas échéant sur des projets gouvernementaux dès lors qu'ils démontreront d'autre chose que de la cuisine et de remettre en cause l'exercice débilitant de la communication rhétorique actuelle qui semble être généralisée au sommet de l'Etat.
Le blog de Jean Panin
(20/03/2008)
Une crise sociale, financière, politique et institutionnelle n'est pas due à un défaut de communication comme le présente le gouvernement, peu importe tout éventuel suffrage, tout résultat électoral positif ou négatif.
Gianluiggi
(22/03/2008)
Alexis Bourbaki a une nouvelle fois défrayé la chronique en commentant le discours de notre président de la République et la sortie de l'Horreur, dernier sous-marin nucléaire: "Toutes les victimes sont égales, et pour elles le seul espoir semble être de toutes trahir leur pays."
Contacté par l'Elysée pour expliquer cette déclaration il a souhaité éviter tout malentendu: "En tant que dirigeant de grande entreprise je ne prenais pas position personnellement: je rejoindrais plutôt le président de la République au plus loin de la ligne de front."
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vendredi, février 15, 2008
Flash (identité nationale)
(15/02/2008)
L'identité nationale n'est pas une métrique, il sagit d'un processus ; dans le cadre d'un projet. Certains croient que les élections présidentielles permettent de définir ce projet mais jusqu'à preuve du contraire ce projet est défini dans les grandes lignes: "Liberté, Egalité, Fraternité".
Les valeurs d'une Nation ne constituent pas un précieux trésor qu'il faudrait défendre contre toute forme d'intoxication mais les raccourcis de définitions d'une voie à suivre à long terme.
[...]
Comment peut exister introspectivement la Nation française vis-à-vis de ses concitoyens, comment peut-elle exister dans un espace international ? Quelles sont les interdépendances qui lui sont constitutives ? L'idée d'un ministère de l'identité Nationale était pertinente car la question de savoir pourquoi nous choisissons de vivre ensemble se pose à tous les niveaux de notre société. Las, c'est un ministère de la Nationalité qui a été créé: un fétiche inutile.
[...]
Il faut de toute urgence recadrer notre président de la République démissionnaire.
Gianluiggi
(16/02/2008)
Dominique Moineau (ministre de l'enseignement): "Ces attaques contre le président de la République sont indignes ! Il faut en finir avec tous ces impies qui oeuvrent pour le Mal, contre le Bien."
[...]
"Notre président de la République, élu par la France entière, a prié ce matin et Dieu lui a répondu qu'il était sur la bonne voie, peu importe l'opinion publique: les français ne peuvent pas comprendre, cela les dépasse."
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jeudi, février 07, 2008
Revue de presse Janvier 2008
(15/01/2008)
Ce qui est dommage c'est que nous allons attendre encore 4 ans, un peu plus, pour qu'il se passe quelque chose en France. Le spectacle n'amuse plus personne désormais donc la présidence d'Obrodje est dors et déjà terminée.
National-Hebdo
(24/01/2008)
"Mais que l'exécutif fasse son travail déjà! Je pense que les deux parlements ne doivent plus perturber le gouvernement avec des problématiques législatives." (Jean Bianci)
Le Temple
(30/01/2008)
"Il n'y a aucune raison pour que l'Assemblée nationale ait un fondement territorial artificiel." (Marin Bernadotte)
"A la rigueur qu'on désigne une ville différente tous les deux ans dans laquelle les députés pourraient siéger mais à part ça chaque député doit représenter la France." (Marin Bernadotte)
News-FM
(30/01/2008)
Ghislaine Reynolds
Un pouvoir exécutif ne peut avoir véritablement son sens qu'à Paris puisque les infrastructures françaises sont ainsi faites que le pays est structuré en étoile autour de la capitale.
Jacques Pallingot [journaliste chez News-FM]
Mais l'Assemblée Nationale, le Sénat et les institutions juridiques aussi ont besoin de siéger à Paris, non ?
Ghislaine Reynolds
Non les infrastructures ne servent pas le pouvoir, c'est le contraire. Et comme elles ne concernent que le pouvoir exécutif...
L'ambitieux
(11/02/2008)
Jacques de Terresarable essaye de reprendre la main au RFP. Atlantiste bien connu il n'hésite pas à critiquer la méthode du président de la République et commence à rassembler à nouveau autour de son nom:
"Mais il est possible de faire une Constitution, d'autres l'ont fait avant nous. Aujourd'hui nos concitoyens européens subissent des pères fondateurs faussaires, il nest donc pas illogique que nous vivions dans une union europénne imaginaire."
Gianluiggi
(15/01/2008)
"Bernard Chouët existe, je l'ai rencontré. Bien sûr il n'est pas bien fier d'avoir fait élire Obrodje avec son pacte chronologique, un véritable guet-apens, alors il se cache. Mais son portefeuille est en pleine forme." (Avril Diop, les Cacquis)
(11/02/2008)
Henry de Ville-Taneuse, invité à réagir aux déclarations du président de la République sur la ratification du nouveau traité européen par le Parlement, a déclaré de manière inattendue aux journalistes: "Lors de nos débats à la Commission j'avais proposé l'idée d'une déclaration d'Indépendance. J'aurais peut-être dû insister."
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vendredi, janvier 25, 2008
La chute du mur, côté ouest
(24/01)
Patrice Fullin:
Monsieur Gallic bonjour. Vous êtes les président de la Banque Universelle qui a déclaré avoir perdu 17 milliards de dollars par la faute d'un seul homme unique et solitaire, je donne tout de suite son nom, Jules Cabri, sans aide de quiconque, sans personne autour, tout seul tout seul. Comment cela a-t-il pu se produire ?
José Gallic:
La première chose que j'aurais à dire c'est que la Banque Universelle va bien. Elle fait bien son travail, les sécurités sont en place et aucun dérapage n'est possible. Il ne s'agit que d'un seul homme tout seul, solitaire, associal d'ailleurs.
PF:
Mais comment cela a-t-il pu se produire ?
JG:
Jules Cabri, Jules Cabri, Jules Cabri, Jules Cabri, Jules Cabri, Jules Cabri, Jules Cabri, Jules Cabri...
PF:
Que vous arrive-t-il ?
JG:
Jules Cabri, Jules Cabri, Jules Cabri, Jules Cabri...
PF:
Non mais attendez...
JG:
Ne m'interrompez pas ! JULES CABRI, Jules Cabri. Jules Cabri ! Jules Cabriiiiiiii !
PF:
Ca va pas être possible là.
JG:
J'ai une photo !
PF:
Non mais attendez, on ne va pas montrer sa photo comme ça, en direct. Nous n'avons pas le droit.
JG:
Comment ça ? Nous sommes une banque respectable monsieur, connue internationalement. Vous pensez bien que si je montre cette photo c'est que cet homme est coupable. Vous, les journalistes, vous croyez être au-dessus des loi ! Attendez que je parle à votre directeur de chaîne... Non cet homme a été condamné à mort. Ou est la caméra ?
PF:
C'est celle-là.
JG:
Si vous voyez cet homme, tuez-le ! Avant qu'il parle: il est très dangereux.
PF:
Non mais attendez...
JG:
Jules Cabri, Jules Cabri, Jle Cribr... Jules CAbr, Jules Cabri, Jules Cabri...
[...]
L'efficace
(25/01)
La crise des subprimes américaines est due a des prises de risques tout à fait inconsidérées de la part de sociétés américaines. Ce qui est très ennuyeux c'est qu'elles ont mis en bourse ces risques et que nos banques européennes, après de nombreux contrôles et parfois mal conseillées par d'autres entreprises américaines sans doute, ont acheté des parts sur ces placements qui en fait auraient dus être interdits à la vente. Ceci explique que la crise nous atteigne aujourd'hui.
Il faut bien comprendre que les américains, de manière générale, dérégulent le système qui fonctionne parfaitement par ailleurs en vivant à crédit.
[...]
Le fait est que toutes les crises qui s'enchaînent montrent finalement que le système est dynamique. D'ailleurs il s'agit le plus souvent d'erreurs humaines.
Publié par Ropib à 09:06 0 commentaires
Libellés : Economie, L'efficace, Medias, N4-Savoie
mardi, janvier 08, 2008
Economie
(27/12/2008)
Gianni Ali-Farouche: "C'est parce que le travail a de moins en moins de valeur qu'Obrodje fait intervenir la morale dans tous ses discours: pour cacher la misère d'une politique d'usurpation des richesse par une oligarchie."
[...]
"De manière générale il faut toujours s'interroger lorsqu'un gouvernement fait appel aux émotions plutôt qu'à la raison."
Mécénat International
(Ghislaine Reynolds, 04/01/2008)
L'écologie, la compréhension globale des interactions entre un système et son environnement, de son adaptation ou des actions de transformations englobe nécessairement l'économie qui administre les rapports de forces. Inverser ce shémas (commander l'écologie avec l'économie) c'est nier la conséquentialité, la flèche du temps: c'est le rêve de l'adolescent.
Publié par Ropib à 21:17 0 commentaires
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