samedi, juin 03, 2006

Revue de presse 02/06

National Hebdo
Nous en savons certes plus désormais sur la DLR : fondé en 1997 par Gianni Ali Farrouche, Maria-Sol Ampoing de Terteron et Ghislaine Reynolds qui sont tous trois encore présents. C'est après le vote de la proposition de présenter un candidat au nom du parti, dimanche 28 mai, que Marin Bernadotte a été désigné, par tirage au sort, candidat parmi le groupe de direction ("consortium stratégique" ).
Mécénat
"Amandine de Sienne qui brigue l'investiture du Parti Electoral, et aujourd'hui en tête des sondages, est revenue hier sur la candidature de Marin Bernadotte : "La gauche doit se rassembler et non se disperser comme en 2002. Je connais bien Ghislaine Reynolds* pour avoir fait mes études avec elle à l'ENA, je pense qu'un accord est possible."
Gianluiggi
(dépêche de 05h12)
Marin Bernadotte, seul candidat ayant lancé sa campagne électorale à ce jour, sera invité à l'édition de 20h du journal de N4-Savoie mardi prochain.
(dépêche du 01/06 à 19h53)
Marin Bernadotte, candidat DLR aux prochaines élections présidentielles, aurait déclaré aux journalistes à la sortie d'un brieffing de campagne : "En tant que candidat je ne soutiens pas l'équipe de France de football. Je serai devant la télé à titre privé mais ça ne devrait pas intéresser les médias." Et d'ajouter : " Je soutiens le sport, l'éducation et la culture sportive. "
L'ambitieux
L'association visant à une Organisation des Marchés Unis (l'avOMU) a exprimé son soutient au candidat Marin Bernadotte par le biais de sa présidente Anastasia Bourbaki. Cette nouvelle a quelque peu inquiété les analystes économiques internationnaux qui craignent qu'une partie de la population puisse croire qu'une voie collaborative puisse être trouvée dans le libéralisme économique. [...] Frantz Kaspar, président de l'OMC, a déclaré : "Il est irresponsable de parler de responsabilité" avant de se rétracter aussitôt prétextant que ses propos avaient été détournés. Il a ajouté que "si le libéralisme a besoin d'ordre je ne vois pas comment ce serait au marché de le mettre en place".
Le président des Etats-Unis a réagit en expliquant qu'il ferait tout pour que "le capitalisme devienne le modèle standard de l'économie car il était universel, et garanti par l'armée américaine s'il le fallait", puis entendant qu'il sa'gissait de libéralisme :"Nous ne saurions accepter que des communistes nous dictent leur loi : ce ne sont même pas des patriotes."
[...]
Ces réactions inattendues par rapport à une déclaration d'une ONG internationale encore peu connue semblent aller à l'encontre des objectifs visés en mettant sur le devant de la scène économique Marin Bernadotte. Même s'il est déjà connu des milieux professionnels ne doutons pas qu'il essaiera d'en tirer un avantage aux yeux du grand publique.

1 commentaires:

Ropib a dit…

A noter la prochaine rencontre entre Ghislaine Reynolds et Markus Planus, président du syndicat Paysans d'Appomatox (sic).