Encore sous le coup de l'annonce de l'abandon de la candidature de Marin Bernadotte aux élections présidentielles de 2007, je suis rentré dans une phase de réflexion.
S'il est vrai qu'Annick Urketa reprend le diagnostic révolutionnaire, que Jérémy Brolon propose une organisation de la démocratie en couches succesives (peut-être pas encore réaliste et pas vraiment de la même façon puisque le tirage au sort est un élément primordial), et qu'Amandine de Sienne reprend quelques concepts comme l'encadrement militaire et les missions humanitaires ou la réflexion sur le couple homosexuel (mariage, adoption) non plus par rapport à une communauté mais des principes fondamentaux (le couple se construit-il autour de la sexualité ?), la position original de la DLR n'est pourtant pas remplacée. La problématique chronologique étant des plus importante mais aujourd'hui plus portée par un Alexis Bourbaki dangereux que par un parti caquis embourbé dans le court terme technique de l'électorat, c'est bien la démocratie l'urgence; non comme valeur morale mais comme outil à ce qui est l'objectif de toute organisation humaine à long terme (je rejoins la vision chronologique bourbachique): la préparation à l'avènement de la futur espèce d'hominidés qui nous anéantira.
Je continuerai donc à retranscrire ici certains articles trouvés dans la presse, les retours sur des réunions de la DLR ou tout simplement quelques réflexions personnelles que je ne manquerai d'ailleurs pas de proposer à la DLR.
S'il est vrai qu'Annick Urketa reprend le diagnostic révolutionnaire, que Jérémy Brolon propose une organisation de la démocratie en couches succesives (peut-être pas encore réaliste et pas vraiment de la même façon puisque le tirage au sort est un élément primordial), et qu'Amandine de Sienne reprend quelques concepts comme l'encadrement militaire et les missions humanitaires ou la réflexion sur le couple homosexuel (mariage, adoption) non plus par rapport à une communauté mais des principes fondamentaux (le couple se construit-il autour de la sexualité ?), la position original de la DLR n'est pourtant pas remplacée. La problématique chronologique étant des plus importante mais aujourd'hui plus portée par un Alexis Bourbaki dangereux que par un parti caquis embourbé dans le court terme technique de l'électorat, c'est bien la démocratie l'urgence; non comme valeur morale mais comme outil à ce qui est l'objectif de toute organisation humaine à long terme (je rejoins la vision chronologique bourbachique): la préparation à l'avènement de la futur espèce d'hominidés qui nous anéantira.
Je continuerai donc à retranscrire ici certains articles trouvés dans la presse, les retours sur des réunions de la DLR ou tout simplement quelques réflexions personnelles que je ne manquerai d'ailleurs pas de proposer à la DLR.
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