Gianluiggi
(dépêche du 13/06, 20h42)
Marin Bernadotte réagissant au budget proposé par le gouvernement : "J'ai entendu Alexandre Obrodje hier et j'ai bien pris note. J'ai bien compris avec ces 8700 professeurs en moins que l'objectif de la France n'est pas le progrès de l'instruction, et peut-être pas le progrès de manière générale." Très remonté contre l'orientation de la politique depuis l'arrivée de Louis Caret à la présidence de la République il a ajouté : "Dans 20 ans, lorsque nous serons devenus un pays en voix de développement notre population sous-qualifiée pourra être considérée comme une main d'oeuvre pas trop chère."
(dépêche de 13h50)
Ghislaine Reynolds, pressentie pour être premier ministre si Marin Bernadotte, candidat de la DRL, venait à être élu président de la République, a esquissé le plan de sa réforme de l'éducation nationale : "Dans notre société qui semble petit à petit rétablir l'apparence sociale, la réputation et la peur du ridicule, l'école, outil d'accessibilité à l'intégration, doit instaurer de manière générale l'usage de l'expression théâtrale. Le théâtre est en effet avant tout un jeu sur soi et sur son image et propose en plus une relation corporelle avec la lecture."
A première vue peu de réformes de fond semblent être envisagées et des "outils de capitalisation et remontée d'informations" semblent être la priorité : "Il faut arrêter la course à la théorie" Ghislaine Reynolds est intéressée, aujourd'hui précise-t-elle, par "les compétences de terrain et leur explicitation".
La revue militante
Devant la recrudescence des problèmes dus à l'immigration certains candidats proposent purement et simplement la supression de la notion de nationalité. Jean-Francis Meniziou, président de l'En-Avant la France, a rappelé à Marin Bernadotte: "Si vous aviez été là en 62 nous serions tous arabes ! " ; et d'ajouter "moi qui croyait avec ses militaires qu'il avait lui aussi été victime de la Meniziouzerie des esprits... il a tout simplement pris un coup de chaud."
[...]
La France a besoin de certains attributs, monsieur Bernadotte, que vous n'avez pas. Laissez-faire les hommes.
L'efficace
Ghislaine Reynolds, co-fondatrice de la DLR, et Markus Planus, porte-parole des Paysans d'Appomatox, se sont rencontrés hier à Clermont-Ferrand. Si Markus Planus a compris les objectifs de la DLR et qu'il a déclaré ne pas pouvoir être contre l'idée il reste dubitatif sur les moyens d'y arriver : "C'est un véritable chateau de cartes. On toucherait aux espaces verts de la ville de Clermont-Ferrand que le monde agricole français pourrait sombrer... Je ne peux pas aujourd'hui soutenir cette politique mais le rendez-vous est pris pour un travail en commun sur certains dossiers." Ghislaine Reynolds a ajouté que la DLR voyait la vie politique et démocratique de cette manière.
(dépêche du 13/06, 20h42)
Marin Bernadotte réagissant au budget proposé par le gouvernement : "J'ai entendu Alexandre Obrodje hier et j'ai bien pris note. J'ai bien compris avec ces 8700 professeurs en moins que l'objectif de la France n'est pas le progrès de l'instruction, et peut-être pas le progrès de manière générale." Très remonté contre l'orientation de la politique depuis l'arrivée de Louis Caret à la présidence de la République il a ajouté : "Dans 20 ans, lorsque nous serons devenus un pays en voix de développement notre population sous-qualifiée pourra être considérée comme une main d'oeuvre pas trop chère."
(dépêche de 13h50)
Ghislaine Reynolds, pressentie pour être premier ministre si Marin Bernadotte, candidat de la DRL, venait à être élu président de la République, a esquissé le plan de sa réforme de l'éducation nationale : "Dans notre société qui semble petit à petit rétablir l'apparence sociale, la réputation et la peur du ridicule, l'école, outil d'accessibilité à l'intégration, doit instaurer de manière générale l'usage de l'expression théâtrale. Le théâtre est en effet avant tout un jeu sur soi et sur son image et propose en plus une relation corporelle avec la lecture."
A première vue peu de réformes de fond semblent être envisagées et des "outils de capitalisation et remontée d'informations" semblent être la priorité : "Il faut arrêter la course à la théorie" Ghislaine Reynolds est intéressée, aujourd'hui précise-t-elle, par "les compétences de terrain et leur explicitation".
La revue militante
Devant la recrudescence des problèmes dus à l'immigration certains candidats proposent purement et simplement la supression de la notion de nationalité. Jean-Francis Meniziou, président de l'En-Avant la France, a rappelé à Marin Bernadotte: "Si vous aviez été là en 62 nous serions tous arabes ! " ; et d'ajouter "moi qui croyait avec ses militaires qu'il avait lui aussi été victime de la Meniziouzerie des esprits... il a tout simplement pris un coup de chaud."
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La France a besoin de certains attributs, monsieur Bernadotte, que vous n'avez pas. Laissez-faire les hommes.
L'efficace
Ghislaine Reynolds, co-fondatrice de la DLR, et Markus Planus, porte-parole des Paysans d'Appomatox, se sont rencontrés hier à Clermont-Ferrand. Si Markus Planus a compris les objectifs de la DLR et qu'il a déclaré ne pas pouvoir être contre l'idée il reste dubitatif sur les moyens d'y arriver : "C'est un véritable chateau de cartes. On toucherait aux espaces verts de la ville de Clermont-Ferrand que le monde agricole français pourrait sombrer... Je ne peux pas aujourd'hui soutenir cette politique mais le rendez-vous est pris pour un travail en commun sur certains dossiers." Ghislaine Reynolds a ajouté que la DLR voyait la vie politique et démocratique de cette manière.
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