jeudi, septembre 07, 2006

Revue de presse du 05/09/200

Mécénat international
(04/09)
C'est après une entrevue avec Anastasia Bourbaki, présidente de l'avOMU et, en France, sympathisante de la DLR, que Babela N'Gouba a décidé de tenter de rallier les pays du Mashrek pour la paix au Liban.
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La réussite des négociations avec le Qatar est un premier pas intéressant mais sans une prise de position claire de l'Arabie Saoudite, de l'Egypte et de l'Iran qui se battent dans une lutte d'influence de tous les instants pour la domination de la région, rien n'avancera véritablement.

Le Blog de Jean Panin (député K-QI)
(05/09)
C'est avec plaisir que nous avons entendu Marin Bernadotte, plus connu pour ses positions conservatrices, réagir au divagations de notre cher ministre de l'interieur et grand guru de la rupture antédiluvienne: "Monsieur Alexandre Obrodje parlent des jeunes des années 80 sans doutes, ceux-là même qui créent des startup et qui participent à la redéfinition des valeurs de notre société: ce mouvement que l'on voit naître dans le monde entier."
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"D'ailleurs pourquoi parler de 68 ?" tout en rappelant le contexte historique et international, "il ne propose ni un avant ni un après, j'y vois une référence gratuite pour amadouer un électorat à moindre frais permettant de proposer l'abîme de l'inconnu de sa rupture".
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Pourquoi chez les caquis (ndla: le nom donné pour les K-QI, Kronos-Quart Interventionniste, parti chronologique) ne pouvons-nous pas réagir de cette manière ? Car je pense que c'est le débat de fond qui s'engage lors des prochaines élections présidentielles: quid de mai 68 ? Sommes-nous en rupture (c'est peut-être le véritable sens du mot employé par nos brodjo et dino partout dans les médias) avec ce mouvement ? Ou au contraire, comme je le pense, nous assumons ce passé et nous nous positionnons dans ce mouvement historique vers l'avenir et le progrès ?
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Il faut pourtant bien exister sur ce thème car la DLR et Marin Bernadotte ne sont pas tout à fait clair eux non plus car ce programme "caché", il ne semble pas le juger inintéressant: "Les propositions techniques du candidat du RFP sont plus intéressantes que ses discours. Pourtant je vois dans cette vision de la politique qui avance masquée toujours le même risque de désordre à moyen terme."

Gianluiggi
(dépêche du 01/09, 15h15)
"Le CNE et la vision naïve capitaliste de la constitution européenne ne sont même pas suivies des chercheurs en économie aujourd'hui." a déclaré Violetta Vespoli, qui remplaçait Ghislaine Reynolds, souffrante, lors du point presse de la DLR.
(dépêche du 04/09, 10h31)
Maria-Sol Ampoing de Terteron: "Me demander si je soutiens Marin Bernadotte dénote de votre ignorance sur le fonctionnement même de notre mouvement. Comme nous aimons à le répéter, ici la démocratie n'est pas itérative mais fonctionnelle. Finalement ce serait plutôt lui qui me soutiendrait tout en me représentant."

L'efficace
(04/09)
Particulièrement intéressée par le débat sur l'enseignement "et la pédagogie en général", la DLR, par la bouche de Gianni Ali Farouche, a notamment réagit aux déclarations d'Amandine de Sienne: "Pourquoi pas mettre plus de professeurs par élèves en effet ? Et pourquoi ne pas mettre plus de classes par élèves tout simplement ?". Et de pointer par la suite le manque d'investissement dans la politique d'enseignement.
Si Alexandre Obrodje propose des solutions rationnelles telles que le recours à la discipline, les méthodes pédagogiques pragmatiques et la récompense du mérite, monsieur Ali Farouche a indiqué qu'il existait "d'autres outils, d'autres pistes que l'école". Serait-ce le début de la remise en cause de l'institution de l'école par la DLR ? Gageons qu'Ana Pomelo, co-dirigeante du parti et professeur de lycée, ne laissera pas passer cette déclaration et qu'une nouvelle crise va bientôt éclater au sein du petit parti chantre de la démocratie participative.

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