National hebdo
(22/02)
Marin Bernadotte a lui aussi réagi à la démission de Gianlucca Propita en Italie: "C'est un signal qui nous est envoyé à toutes les démocraties. Dans un jeu politique ouvert avec une multitude d'acteurs il est nécessaire de ne pas jouer à tout bout de chant l'opposition sous prétexte de représentativité. On voit là la nécessité de dégager les représentants politiques de toute responsabilité partisane." Il a rappelé ainsi que sa nomination en tant que candidat aux présidentielles avait été choisie au hasard au sein d'un comité de représentants.
[...]
Le député européen Bruno Ferreux, ancien membre du PMO (Parti pour la Morale Ouvrière) ayant rejoins il y a peu la DLR, est revenu sur le fiasco de la tentative d'union de l'extrême gauche: "Quand on voit ce qu'ont réussi à faire ces abrutis de la PMO, mes amis de plus de trente ans attention, je me dis que la France ferait bien pire si cette fameuse VIè République était déjà en place. Non mais vous vous rendez compte que nous avons presque 40 individus voulant se présenter ? Et ils veulent nous faire croire qu'ils veulent jouer collectif ?"
L'idéal
(20/02)
Hier Gianni Ali Farrouche a condamné vivement la multiplicité des candidatures en faisant mine de courage dans la volonté de ne pas participer aux élections présidentielles de 2007. Prenant des accents ridiculement grandiloquents il a même essayé d'imiter le grand Zola.
"J'accuse les défaiseurs de démocratie, incapables de négocier sur quoique ce soit, qui aujourd'hui paralysent les solutions unitaires avec des appareils administratifs et qui demain paralyseront le pays en brandissant leur pouvoir de blocage.
J'accuse les briseurs de politique qui préfèrent l'inaction à la perte de leur siège, toujours prêts à soutenir les alliances pour des raisons individuelles plutôt que pour des orientations collectives.
J'accuse les candidatures de dentistes qui veulent passer à la télé pour montrer leurs dents et qui au final vendront leur pouvoir aux médias.
J'accuse les grands pouvoirs d'aujourd'hui de ne pas mettre en place les conditions nécessaires à l'apparition demain d'une démocratie vivable plutôt qu'une instabilité de postures définies au regard de sondages d'opinions nécessairement éphémères."
[...]
Markus Planus, l'ancien porte-parole du syndicat des Paysans d'Appomatox, a rapidement réagit en invitant la DLR à le soutenir: "Marin Bernadotte n'avait pas d'image ni de couverture, je comprends leur position. Dans mon programme je définis un mode de gouvernance responsable mais je ne peux pas accepter de faire des compromis sur des points qui entraînent tout notre avenir."
L'efficace
(17/02)
Anna Pomelo, enseignante et membre active du parti Démocratie Libérale Révolutionnaire, propose dans son ouvrage La continuation de l'Histoire une vision un peu différente de l'action politique aujourd'hui. Proposant ainsi une démocratie basée sur un dynamisme complexe plutôt que sur une instabilité paralysante elle explique "qu'aujourd'hui l'architecture nationale dépasse largement les gouvernements en place, dans la géographie, l'économie et le temps pour une même génération. Avec des mandats plus courts, des modifications sociaux économiques rapides et brutaux, l'application d'idéologies attachées à des classes n'est plus efficace et souvent remise en cause de manière itérative.[...] Ainsi le sens vient du projet de société dans une cohérence historique bien plus que dans la responsabilité de l'exercice d'un mandat par un gouvernant même très représentatif." Rappelant son expérience du développement des enfants qui, de professeurs en professeurs, de classes en classes, se forment en tant que professionnel mais aussi en tant que citoyen capable de s'intégrer à la société dans une succession de métiers difficilement anticipée, elle en vient naturellement à prôner une politique hygiéniste vue dans le programme présidentiel de la DLR lorsque Marin Bernadotte était encore candidat. "Des outils puissants existent pour appliquer cette politique sans nécessairement engager des moyens utiles à d'autres. Des structures techniquement au point dépensent même une énergie formidable à tourner à vide sans aucune volonté d'entraînement et occupant une position centrale en viennent naturellement à exercer leur pouvoir sans une seule vision constructive." Si elle laisse planer le doute sur les véritables décisions et actions à mener elle diagnostique pourtant une dangereuse perte de repères politiques nécessaires au "vivre-ensemble" et à la cohésion nationale, n'oubliant pas que "l'ordre est la première condition à l'instauration d'un système propre à la création de richesses".
(22/02)
Marin Bernadotte a lui aussi réagi à la démission de Gianlucca Propita en Italie: "C'est un signal qui nous est envoyé à toutes les démocraties. Dans un jeu politique ouvert avec une multitude d'acteurs il est nécessaire de ne pas jouer à tout bout de chant l'opposition sous prétexte de représentativité. On voit là la nécessité de dégager les représentants politiques de toute responsabilité partisane." Il a rappelé ainsi que sa nomination en tant que candidat aux présidentielles avait été choisie au hasard au sein d'un comité de représentants.
[...]
Le député européen Bruno Ferreux, ancien membre du PMO (Parti pour la Morale Ouvrière) ayant rejoins il y a peu la DLR, est revenu sur le fiasco de la tentative d'union de l'extrême gauche: "Quand on voit ce qu'ont réussi à faire ces abrutis de la PMO, mes amis de plus de trente ans attention, je me dis que la France ferait bien pire si cette fameuse VIè République était déjà en place. Non mais vous vous rendez compte que nous avons presque 40 individus voulant se présenter ? Et ils veulent nous faire croire qu'ils veulent jouer collectif ?"
L'idéal
(20/02)
Hier Gianni Ali Farrouche a condamné vivement la multiplicité des candidatures en faisant mine de courage dans la volonté de ne pas participer aux élections présidentielles de 2007. Prenant des accents ridiculement grandiloquents il a même essayé d'imiter le grand Zola.
"J'accuse les défaiseurs de démocratie, incapables de négocier sur quoique ce soit, qui aujourd'hui paralysent les solutions unitaires avec des appareils administratifs et qui demain paralyseront le pays en brandissant leur pouvoir de blocage.
J'accuse les briseurs de politique qui préfèrent l'inaction à la perte de leur siège, toujours prêts à soutenir les alliances pour des raisons individuelles plutôt que pour des orientations collectives.
J'accuse les candidatures de dentistes qui veulent passer à la télé pour montrer leurs dents et qui au final vendront leur pouvoir aux médias.
J'accuse les grands pouvoirs d'aujourd'hui de ne pas mettre en place les conditions nécessaires à l'apparition demain d'une démocratie vivable plutôt qu'une instabilité de postures définies au regard de sondages d'opinions nécessairement éphémères."
[...]
Markus Planus, l'ancien porte-parole du syndicat des Paysans d'Appomatox, a rapidement réagit en invitant la DLR à le soutenir: "Marin Bernadotte n'avait pas d'image ni de couverture, je comprends leur position. Dans mon programme je définis un mode de gouvernance responsable mais je ne peux pas accepter de faire des compromis sur des points qui entraînent tout notre avenir."
L'efficace
(17/02)
Anna Pomelo, enseignante et membre active du parti Démocratie Libérale Révolutionnaire, propose dans son ouvrage La continuation de l'Histoire une vision un peu différente de l'action politique aujourd'hui. Proposant ainsi une démocratie basée sur un dynamisme complexe plutôt que sur une instabilité paralysante elle explique "qu'aujourd'hui l'architecture nationale dépasse largement les gouvernements en place, dans la géographie, l'économie et le temps pour une même génération. Avec des mandats plus courts, des modifications sociaux économiques rapides et brutaux, l'application d'idéologies attachées à des classes n'est plus efficace et souvent remise en cause de manière itérative.[...] Ainsi le sens vient du projet de société dans une cohérence historique bien plus que dans la responsabilité de l'exercice d'un mandat par un gouvernant même très représentatif." Rappelant son expérience du développement des enfants qui, de professeurs en professeurs, de classes en classes, se forment en tant que professionnel mais aussi en tant que citoyen capable de s'intégrer à la société dans une succession de métiers difficilement anticipée, elle en vient naturellement à prôner une politique hygiéniste vue dans le programme présidentiel de la DLR lorsque Marin Bernadotte était encore candidat. "Des outils puissants existent pour appliquer cette politique sans nécessairement engager des moyens utiles à d'autres. Des structures techniquement au point dépensent même une énergie formidable à tourner à vide sans aucune volonté d'entraînement et occupant une position centrale en viennent naturellement à exercer leur pouvoir sans une seule vision constructive." Si elle laisse planer le doute sur les véritables décisions et actions à mener elle diagnostique pourtant une dangereuse perte de repères politiques nécessaires au "vivre-ensemble" et à la cohésion nationale, n'oubliant pas que "l'ordre est la première condition à l'instauration d'un système propre à la création de richesses".
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