Par Ana Pomelo
Comme Annick Urketa pour le second tour la DLR avait décidé de ne pas se prononcer au premier tour des élections présidentielles. La méthode est pourtant différente puisque d'une part nous ne présentions pas de candidat tandis que nombre de nos propositions n'étaient reprises par personne, mais en plus nous refusons toute possibilité de ne pas nous inscrire dans un processus de décision et d'arbitrage lorsque des alternatives semblent claires.
Ainsi dans le combat pour le pluralisme qui est le nôtre tout comme celui revendiqué par l'URM nous avons clairement lu l'appel à la 6è République d'Amandine de Sienne. Nous avons aussi clairement compris sa démarche participative non seulement avec les français mais en dedans-même de l'Assemblée Nationale en prenant en compte les futurs courants qui seront nécessairement présents, ce qui dénote d'une volonté de radicalement modifier le comportement de nos élus.
En revanche chez Alexandre Obrodje nous pouvons désormais comprendre que sa rupture est avant tout basée sur la référence au passé. S'il refuse de remettre en cause la 5è République il nie la crise de la représentation. Il attaque, usant d'un spin négatif, les rencontres publiques entre politiques tandis qu'il s'agit d'une volonté de servir la Nation, laissant augurer d'une gouvernance unilatérale.
Pour ces raisons, malgré l'évident avantage stratégique d'une abstention entre les deux derniers candidats, nous sommes obligés de déclarer notre soutient à l'endroit de la candidature d'Amandine de Sienne. Nous sommes obligés par l'utilité publique que représentent les mandats des élus qui composent notre parti, nous sommes obligés par la logique qui fait qu'un parti politique ne peut pas être à la fois un engagement et un désengagement, nous sommes obligés enfin par les candidats eux-mêmes qui ne proposent pas les mêmes orientations politiques.
Nous soutenons ainsi cette volonté de négociation dans le rapport à la vie citoyenne, à la mise en société de l'essence sociale de notre humanité, qui anime Amandine de Sienne. Mais nous comptons malgré tout sur Alexandre Obrodje pour qu'il entende cet appel à la nécessité du travail commun tandis qu'aujourd'hui encore il fustige "les petits arrangements" publiques d'hommes et de femmes politiques tout en appelant à des "dialogues" en catimini, en cachette des caméras, des journalistes, des citoyens.
Amandine de Sienne est la seule alternative au blocage par l'affrontement et une candidate refusant les "ruptures" photogéniques.
Comme Annick Urketa pour le second tour la DLR avait décidé de ne pas se prononcer au premier tour des élections présidentielles. La méthode est pourtant différente puisque d'une part nous ne présentions pas de candidat tandis que nombre de nos propositions n'étaient reprises par personne, mais en plus nous refusons toute possibilité de ne pas nous inscrire dans un processus de décision et d'arbitrage lorsque des alternatives semblent claires.
Ainsi dans le combat pour le pluralisme qui est le nôtre tout comme celui revendiqué par l'URM nous avons clairement lu l'appel à la 6è République d'Amandine de Sienne. Nous avons aussi clairement compris sa démarche participative non seulement avec les français mais en dedans-même de l'Assemblée Nationale en prenant en compte les futurs courants qui seront nécessairement présents, ce qui dénote d'une volonté de radicalement modifier le comportement de nos élus.
En revanche chez Alexandre Obrodje nous pouvons désormais comprendre que sa rupture est avant tout basée sur la référence au passé. S'il refuse de remettre en cause la 5è République il nie la crise de la représentation. Il attaque, usant d'un spin négatif, les rencontres publiques entre politiques tandis qu'il s'agit d'une volonté de servir la Nation, laissant augurer d'une gouvernance unilatérale.
Pour ces raisons, malgré l'évident avantage stratégique d'une abstention entre les deux derniers candidats, nous sommes obligés de déclarer notre soutient à l'endroit de la candidature d'Amandine de Sienne. Nous sommes obligés par l'utilité publique que représentent les mandats des élus qui composent notre parti, nous sommes obligés par la logique qui fait qu'un parti politique ne peut pas être à la fois un engagement et un désengagement, nous sommes obligés enfin par les candidats eux-mêmes qui ne proposent pas les mêmes orientations politiques.
Nous soutenons ainsi cette volonté de négociation dans le rapport à la vie citoyenne, à la mise en société de l'essence sociale de notre humanité, qui anime Amandine de Sienne. Mais nous comptons malgré tout sur Alexandre Obrodje pour qu'il entende cet appel à la nécessité du travail commun tandis qu'aujourd'hui encore il fustige "les petits arrangements" publiques d'hommes et de femmes politiques tout en appelant à des "dialogues" en catimini, en cachette des caméras, des journalistes, des citoyens.
Amandine de Sienne est la seule alternative au blocage par l'affrontement et une candidate refusant les "ruptures" photogéniques.
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