(Rapides réflexions personnelles)
Qu'est-ce donc que cet ensemble de mots dont on entend parler au sujet d'un "Traité simplifié" ?
La concurrence c'est lorsque plusieurs personnes ayant des objectifs voisins essayent de parvenir à les atteindre sans que l'autre puisse l'en empêcher. "Libre et sans distorsion" sous-entend que ceux qui en ont le pouvoir doivent mettre des règles équitables pour tous les concurrents au commencement de la concurrence (ce qui pose problème pour des concurrents qui vieindraient au milieu, il y aurait arbitrage mais les principes sont là) et que par la suite il faut garantir qu'aucun ne sera avantagé et que les règles ne fluctueront pas une fois la concurrence démarrée. Ici encore un arbitrage est nécessaire pour ceux qui arrivent en cours de compétition, selon les règles définies (par exemple s'il y a eu des arbitrages pour les concurrents précédents, en rapport à des aides, des tricheries, des ajustements... il est nécessaire de les prendre en compte pour le nouvele arrivant) puisque la concurrence doit pouvoir être libre c'est à dire que le concurrent déjà présent ne doit pas pouvoir empêcher l'arrivée d'un nouveau concurrent.
En fait derrière cette liberté mise en avant dans tous les mots qui définissent ce concept il y a celui d'égalité. Certes la concurrence est aussi mise en avant mais cela ne veut pas dire que d'autres valeurs puissent être favoriser par ailleurs. La liberté n'empêche pas la prise en compte de lois, au contraire, et la concurrence se joue toujours dans un milieu plus large englobant une société cohérente et donc collaboratrice. Si en soit "la concurrence libre et sans distorsion" ne suffit pas elle est pourtant tout à fait nécessaire par exemple à l'école (où les enfants doivent être traités de la même façon), dans la recherche d'un travail... La concurrence ne peut pas être niée non plus puisque l'homme n'y a pas une place a priori et que le groupe doit le reconnaître.
Bien entendu il y a de nombreuses raisons d'être très méfiant vis à vis de ces termes puisqu'ils sont sans arrêts répétés lors d'injustices flagrantes ne mettant justement pas en scène cette liberté-égalité. Dans le secteur de la téléphonie mobile il y a eu de très grands abus par exemple, et pas toujours par le fait d'un Etat un peu mou mais souvent des concurrents eux-mêmes qui se retrouvent à édicter des règles: la liberté n'est plus garantie et la distorsion est bien présente. La revente d'entreprises nationales (Airbus, sans revenir sur l'historique et un montage particulier, ou d'autres) au secteur privé à des prix anormalement bas représente aussi une distorsion puisque les conditions de départ ne sont pas équitables et c'est la concurrence future qui est niée ici.
Il est donc important de lire dans une déclaration libérale les principes d'égalité qu'il y a derrière et de comprendre que ce qui gène les humanistes, c'est à dire ceux qui veulent mettre l'homme au centre de la Cité, c'est le capitalisme comme recherche d'accumulation de capital. On y voit aussi la présence obligatoire d'une autorité sans laquelle la liberté produit les causes de sa disparition.
Qu'est-ce donc que cet ensemble de mots dont on entend parler au sujet d'un "Traité simplifié" ?
La concurrence c'est lorsque plusieurs personnes ayant des objectifs voisins essayent de parvenir à les atteindre sans que l'autre puisse l'en empêcher. "Libre et sans distorsion" sous-entend que ceux qui en ont le pouvoir doivent mettre des règles équitables pour tous les concurrents au commencement de la concurrence (ce qui pose problème pour des concurrents qui vieindraient au milieu, il y aurait arbitrage mais les principes sont là) et que par la suite il faut garantir qu'aucun ne sera avantagé et que les règles ne fluctueront pas une fois la concurrence démarrée. Ici encore un arbitrage est nécessaire pour ceux qui arrivent en cours de compétition, selon les règles définies (par exemple s'il y a eu des arbitrages pour les concurrents précédents, en rapport à des aides, des tricheries, des ajustements... il est nécessaire de les prendre en compte pour le nouvele arrivant) puisque la concurrence doit pouvoir être libre c'est à dire que le concurrent déjà présent ne doit pas pouvoir empêcher l'arrivée d'un nouveau concurrent.
En fait derrière cette liberté mise en avant dans tous les mots qui définissent ce concept il y a celui d'égalité. Certes la concurrence est aussi mise en avant mais cela ne veut pas dire que d'autres valeurs puissent être favoriser par ailleurs. La liberté n'empêche pas la prise en compte de lois, au contraire, et la concurrence se joue toujours dans un milieu plus large englobant une société cohérente et donc collaboratrice. Si en soit "la concurrence libre et sans distorsion" ne suffit pas elle est pourtant tout à fait nécessaire par exemple à l'école (où les enfants doivent être traités de la même façon), dans la recherche d'un travail... La concurrence ne peut pas être niée non plus puisque l'homme n'y a pas une place a priori et que le groupe doit le reconnaître.
Bien entendu il y a de nombreuses raisons d'être très méfiant vis à vis de ces termes puisqu'ils sont sans arrêts répétés lors d'injustices flagrantes ne mettant justement pas en scène cette liberté-égalité. Dans le secteur de la téléphonie mobile il y a eu de très grands abus par exemple, et pas toujours par le fait d'un Etat un peu mou mais souvent des concurrents eux-mêmes qui se retrouvent à édicter des règles: la liberté n'est plus garantie et la distorsion est bien présente. La revente d'entreprises nationales (Airbus, sans revenir sur l'historique et un montage particulier, ou d'autres) au secteur privé à des prix anormalement bas représente aussi une distorsion puisque les conditions de départ ne sont pas équitables et c'est la concurrence future qui est niée ici.
Il est donc important de lire dans une déclaration libérale les principes d'égalité qu'il y a derrière et de comprendre que ce qui gène les humanistes, c'est à dire ceux qui veulent mettre l'homme au centre de la Cité, c'est le capitalisme comme recherche d'accumulation de capital. On y voit aussi la présence obligatoire d'une autorité sans laquelle la liberté produit les causes de sa disparition.
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