L'Efficace
(10/07)
Ghilaisne Reynolds, co-dirigeante de la DLR avec Marin Bernadotte, n'a pas été tendre avec les journalistes en leur reconnaissant une responsabilité à la situation difficile qu'ils sont en train de vivre.
Intérrogée sur l'affaire de la reprise mouvementée du journal L'Ambitieux elle a déclaré: "Nous sommes attentifs à ce qui se passe aujourd'hui dans la presse économique. Mais il me semble juste qu'à force de se positionner en tant qu'expert tout en soutenant la logique capitaliste française, toujours minimaliste et frileuse, on ne peut pas lutter contre elle lorsqu'on est soi-même en cause."
Appelée à se positionner par les interviewers de ce journal et à soutenir la liberté de la presse elle a même été plus loin encore en accusant "cette presse [d'être] suffisamment peu crédible aujourd'hui pour qu'on pousse à son anéantissement plutôt qu'à sa protection", provoquant l'ire de la plupart des journalistes présents.
[...]
Une fois un ordre précaire rétabli elle a voulu expliquer son point de vue en prenant l'exemple de la couverture méidatique des journaux spécialisés du débat actuel sur l'ouverture à la concurrence du secteur de la téléphonie mobile avec l'appel de candidature à la 4è licence 3G: "un expert soit-disant indépendant nous explique que «la culture française n'est pas favorable à un quatrième entrant» dans la téléphonie mobile de troisième génération. Quel est le journaliste qui a dénoncé ce positionnement anti-libéral flagrant et la malhonnêteté de l'argument ?".
[...]
L'amibitieux
(10/07)
Ghilaisne Reynolds, pourtant chargée des affaires économiques à Démocratie Libérale Révolutionnaire (petit parti de centre gauche connu pour son agressivité envers les médias et qui n'a pas été capable de présenter un candidat à la dernière élection présidentielle), s'en est prise violamment hier à notre journal en particulier pourtant déjà bien en difficulté: "Les professionnels des médias récoltent aujourd'hui ce qu'ils ont semé hier, tant ils ont participé à ce mic-mac idéologique en croyant atteindre le statut d'élite dirigeante. Nous ne pouvons pas, en l'état actuel des choses, soutenir les journalistes ; et je rappelle, mais j'imagine que ces propos seront censurés, que depuis des années nous les invitons à participer à des commissions de réflexion."
Nous tenons tout d'abord à dire que nous ne permettrons pas aux politiques de remettre en cause notre travail et notre indépendance même si la conjoncture actuelle, de caractère bien entendu accidentel, n'est pas favorable. De plus nous tenons à démontrer que nous ne pratiquons aucune censure même envers des personnes qui ne connaissent pas les dossiers sur lesquels elles s'expriment et avec qui il semble inutile de débattre par ailleurs.
Cette attaque en règle de notre métier avait d'ailleurs lieu tandis que l'ancienne directrice de la SNCF était invitée à s'exprimer sur l'état actuel de la gauche et de l'opposition, sujets qui n'avaient donc aucun rapport avec nous. Maniant une mauvaise foi évidente et un certain flou artistique idéologique étonnant, rappelant selon certains les imprécisions de la campagne d'Amandine de Sienne, elle s'est vue conspuée par l'ensemble de la profession et l'entretien a finalement tourné court.
L'espoir fatal
(11/07)
Ghilaisne Reynolds ne se fera pas d'amis ni chez les journalistes ni chez les politiques cet été.
Interrogée sur les positionnements des divers partis de gauche, la co-fondatrice de la DLR qui veut incarner l'archétype du parti centriste a tiré à boulets rouge sur tout ceux qui selon elle voulaient manipuler l'opinion publique en perturbant à dessein les lignes politiques.
Nommant "le président de la République Alexandre Obrodje" lui-même mais aussi "Philippe Attrée qui veut reprendre la main au Parti Electoral, Francine Mendel qui transforme la SAP en lobbie et en plateforme de pots-de-vin et Jean Biancci complètement manipulé et rêvant encore à l'empire soviétique" en les accusant de mélanger publiquement de grandes notions philosophiques en ayant pour objectif de "construire l'aliénation du peuple pour monopoliser l'ensemble des pouvoirs".
Réagissant au porte-parole du PE à l'assemblée nationale lundi dernier qui disait "On ne peut pas faire rêver en parlant des drapeaux tricolores et de la Marseillaise" pour mieux accuser Amandine de Sienne, amie personnelle de la dirigeante de la DLR, au sein même de son parti, elle a ironisé sur les connaissances historiques du député du Nord: "Ainsi la révolution de 1789 aurait été pensée par de dangereux fascistes et peut-être même que le bon roi Louis XVI était marxiste... Ce type de déclarations me semble très ennuyeux mais pire, elles émanent de personnes qui manifestement ne veulent pas servir la collectivité."
[...]
Elle a voulu aussi rappeler qu'"en tant que parti d'extrême centre nous sommes obligés d'expliquer notre position médiante: Liberté, Egalité, Fraternité sont trois valeurs indiscutablement référencées à gauche et Propriété, Mérite, Respect sont les trois valeurs que la droite leur oppose".
Rappelons que la DLR s'était auparavant exprimé pour faire reconnaître au moins trois autres clivages d'égale importance: haut-bas, dedans-dehors, spin positif-négatif [...]
La DLR qui se positionne donc relativement à ces clivages comme un parti du haut veut apparaître comme arbitre et pédagogue sur les notions de gauche et de droite: "Nous voyons d'un très mauvais oeil les tentatives de manipulation des uns comme des autres qui visent en réalité à déposséder les citoyens des débats qui les concernent" a ainsi martelé Ghilaisne Reynolds.
[...]
Peu après la rencontre avec la presse a pris un tout autre visage lorsque les journalistes du journal L'Ambitieux ont voulu obtenir un soutien de la part de l'ex-candidate aux législatives à Bordeaux lorsque contre toute attente elle a préféré continuer d'accuser encore.
(10/07)
Ghilaisne Reynolds, co-dirigeante de la DLR avec Marin Bernadotte, n'a pas été tendre avec les journalistes en leur reconnaissant une responsabilité à la situation difficile qu'ils sont en train de vivre.
Intérrogée sur l'affaire de la reprise mouvementée du journal L'Ambitieux elle a déclaré: "Nous sommes attentifs à ce qui se passe aujourd'hui dans la presse économique. Mais il me semble juste qu'à force de se positionner en tant qu'expert tout en soutenant la logique capitaliste française, toujours minimaliste et frileuse, on ne peut pas lutter contre elle lorsqu'on est soi-même en cause."
Appelée à se positionner par les interviewers de ce journal et à soutenir la liberté de la presse elle a même été plus loin encore en accusant "cette presse [d'être] suffisamment peu crédible aujourd'hui pour qu'on pousse à son anéantissement plutôt qu'à sa protection", provoquant l'ire de la plupart des journalistes présents.
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Une fois un ordre précaire rétabli elle a voulu expliquer son point de vue en prenant l'exemple de la couverture méidatique des journaux spécialisés du débat actuel sur l'ouverture à la concurrence du secteur de la téléphonie mobile avec l'appel de candidature à la 4è licence 3G: "un expert soit-disant indépendant nous explique que «la culture française n'est pas favorable à un quatrième entrant» dans la téléphonie mobile de troisième génération. Quel est le journaliste qui a dénoncé ce positionnement anti-libéral flagrant et la malhonnêteté de l'argument ?".
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L'amibitieux
(10/07)
Ghilaisne Reynolds, pourtant chargée des affaires économiques à Démocratie Libérale Révolutionnaire (petit parti de centre gauche connu pour son agressivité envers les médias et qui n'a pas été capable de présenter un candidat à la dernière élection présidentielle), s'en est prise violamment hier à notre journal en particulier pourtant déjà bien en difficulté: "Les professionnels des médias récoltent aujourd'hui ce qu'ils ont semé hier, tant ils ont participé à ce mic-mac idéologique en croyant atteindre le statut d'élite dirigeante. Nous ne pouvons pas, en l'état actuel des choses, soutenir les journalistes ; et je rappelle, mais j'imagine que ces propos seront censurés, que depuis des années nous les invitons à participer à des commissions de réflexion."
Nous tenons tout d'abord à dire que nous ne permettrons pas aux politiques de remettre en cause notre travail et notre indépendance même si la conjoncture actuelle, de caractère bien entendu accidentel, n'est pas favorable. De plus nous tenons à démontrer que nous ne pratiquons aucune censure même envers des personnes qui ne connaissent pas les dossiers sur lesquels elles s'expriment et avec qui il semble inutile de débattre par ailleurs.
Cette attaque en règle de notre métier avait d'ailleurs lieu tandis que l'ancienne directrice de la SNCF était invitée à s'exprimer sur l'état actuel de la gauche et de l'opposition, sujets qui n'avaient donc aucun rapport avec nous. Maniant une mauvaise foi évidente et un certain flou artistique idéologique étonnant, rappelant selon certains les imprécisions de la campagne d'Amandine de Sienne, elle s'est vue conspuée par l'ensemble de la profession et l'entretien a finalement tourné court.
L'espoir fatal
(11/07)
Ghilaisne Reynolds ne se fera pas d'amis ni chez les journalistes ni chez les politiques cet été.
Interrogée sur les positionnements des divers partis de gauche, la co-fondatrice de la DLR qui veut incarner l'archétype du parti centriste a tiré à boulets rouge sur tout ceux qui selon elle voulaient manipuler l'opinion publique en perturbant à dessein les lignes politiques.
Nommant "le président de la République Alexandre Obrodje" lui-même mais aussi "Philippe Attrée qui veut reprendre la main au Parti Electoral, Francine Mendel qui transforme la SAP en lobbie et en plateforme de pots-de-vin et Jean Biancci complètement manipulé et rêvant encore à l'empire soviétique" en les accusant de mélanger publiquement de grandes notions philosophiques en ayant pour objectif de "construire l'aliénation du peuple pour monopoliser l'ensemble des pouvoirs".
Réagissant au porte-parole du PE à l'assemblée nationale lundi dernier qui disait "On ne peut pas faire rêver en parlant des drapeaux tricolores et de la Marseillaise" pour mieux accuser Amandine de Sienne, amie personnelle de la dirigeante de la DLR, au sein même de son parti, elle a ironisé sur les connaissances historiques du député du Nord: "Ainsi la révolution de 1789 aurait été pensée par de dangereux fascistes et peut-être même que le bon roi Louis XVI était marxiste... Ce type de déclarations me semble très ennuyeux mais pire, elles émanent de personnes qui manifestement ne veulent pas servir la collectivité."
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Elle a voulu aussi rappeler qu'"en tant que parti d'extrême centre nous sommes obligés d'expliquer notre position médiante: Liberté, Egalité, Fraternité sont trois valeurs indiscutablement référencées à gauche et Propriété, Mérite, Respect sont les trois valeurs que la droite leur oppose".
Rappelons que la DLR s'était auparavant exprimé pour faire reconnaître au moins trois autres clivages d'égale importance: haut-bas, dedans-dehors, spin positif-négatif [...]
La DLR qui se positionne donc relativement à ces clivages comme un parti du haut veut apparaître comme arbitre et pédagogue sur les notions de gauche et de droite: "Nous voyons d'un très mauvais oeil les tentatives de manipulation des uns comme des autres qui visent en réalité à déposséder les citoyens des débats qui les concernent" a ainsi martelé Ghilaisne Reynolds.
[...]
Peu après la rencontre avec la presse a pris un tout autre visage lorsque les journalistes du journal L'Ambitieux ont voulu obtenir un soutien de la part de l'ex-candidate aux législatives à Bordeaux lorsque contre toute attente elle a préféré continuer d'accuser encore.
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